Mikaël PERGENT
Psychologue clinicien-psychothérapeute
Au sujet de
Mikaël PERGENT
Je vous reçois dans mon cabinet à Paris. Je suis psychologue spécialisé en psychologie clinique et psychopathologie (Paris 7 Diderot), ainsi que psychothérapeute.
Il y a de nombreuses raisons de consulter un psychologue pour par exemple : des difficultés personnelles passagères, timidité, phobie, dépression, maladie chronique, accident traumatique, burn-out, souffrance et épuisement au travail, difficultés dans le couple, mal être persistant, deuil ou tout simplement envie de mieux se connaître.
A des symptômes physiques il y a toujours une souffrance psychique associée qui demande d'être reconnue et élaborée.
Psychologue clinicien d'orientation analytique je fonde ma pratique sur la singularité de chaque individu qui se déploie dans une rencontre qui se veut toujours unique et particulière dans un cadre contenant et sécurisant. Je fonde ma pratique sur une écoute active "déterminée" par des techniques spécifiques, mon savoir faire se base sur une vision intégrative de différents domaines d’application de la psychologie.
J'accueille au cabinet :
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- Les enfants de 6 à 13 ans. - Les adolescents (14 ans et plus).
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- Les adultes.
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- Les couples.
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- Les sportifs professionnels (préparation mentale et coaching).
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Réalisation de consultation de soutien, de psychothérapie longue, de consultation d'orientation et de tests.
01.
La thérapie d'adulte est toujours une rencontre entre deux singularités, celle du thérapeute et d'un patient. Le cadre que je propose se veut être intégratif, dans cet espace le patient est la clé et le seule à connaitre la vérité .
Le thérapeute accompagne le patient dans son cheminement personnel et vient favoriser l'activation des ressources latentes chez le patient.
Par sa posture, il permet au patient d'engager un travail de réflexivité sur lui-même qui a pour but de répondre à la demande initiale du patient.
02.
Du Jeu au "Je"
La thérapie avec les enfants se veut différente de celle des adultes. En effet, l'enfant étant psychiquement, émotionnellement et physiquement en évolution , l'espace thérapeutique doit intégrer ces particularités. Le recours à un "média thérapeutique" permet la création d'un espace "intermédiaire" où par le jeu l'enfant pourra investir un espace personnel sans jugement et sans enjeu sinon celui-ci d'exprimer sereinement son monde intérieur: celui de son "Je"!
Les raisons pour consulter chez l'enfant sont nombreuses: elles peuvent être en lien avec la scolarité, des difficultés d'apprentissage à l'école, du harcèlement scolaire ou bien encore pour une phobie scolaire. Elles peuvent être aussi relationnelles , une problématique pour l'enfant ou l'adolescent à trouver sa place dans son groupe de pairs, dans sa famille ou dans sa vie affective.
Elles peuvent également être en lien avec une problématique addictive ( cannabis, jeux vidéos, consommation d'alcool ) ou de prise de risque.
Toutes les spécificités de l'enfance et de l'adolescence nécessitent un regard clinique particulier afin de proposer un espace thérapeutique au plus près des besoins de l'enfant.
03.
Depuis quelques années le Burn-out est entré dans nos vies, à travers la presse et la littérature. D'abord posé à travers le cadre professionnel, cette notion s'est généralisée dans nos vies: burn-out des mères de famille, burn-out des cadres et par extension des notions nouvelles telles que : le burn-out des océans, burn-out écologique ou bien encore le burn-out des organisations.
Encore appelé "épuisement mental" ou "épuisement professionnel" il est souvent confondu avec la dépression.
Pourtant le burn-out comporte des spécificités dans son apparition et donc dans sa prise en charge. Il n'est pas question ici de faire une vignette psychopathologique du burn-out, car cette notion continue de diviser le monde médical.
Dans ma pratique j'ai accompagné de nombreux burn-out souvent en lien avec le monde professionnel , il est cette perte de repère qui va toucher l'individu au plus profond de son être. Concrètement il est une dégradation du rapport du sujet, d'abord avec son activité mais par la suite avec toutes les sphères de son identité ( familiale, amicale et identitaire).
Effectivement la culpabilité première s'exprime chez le patient à travers son incapacité à se reconnaitre dans son identité professionnelle correspondant souvent à la phase d'effondrement. Ainsi après avoir été longtemps en surrégime et dans le déni de ses difficultés le patient s'effondre subitement et ne peut plus affronter le monde du travail. Isolement, culpabilité, incompréhension, parfois il exprimera ce mal être par le corps: pneumothorax, fracture, irruption cutanée, insomnie etc.
Selon le moment de la consultation , la prise en charge sera plus ou moins longue, mais nous pouvons identifier trois phases distinctes dans le traitement:
I) La stabilisation : éloignement de la cause du burn-out, phase de repos permettant au sujet de se reconnecter à son monde interne et corps social.
II) La reconstruction identitaire: le patient reconstruit son identité en déconstruisant ce qui l'a conduit à cette situation extrême. il s'agit d'un travail autour des limites et de l'élaboration des besoins et des désirs.
III) La réflexion et la renaissance du désir de travailler : c'est la préparation du retour au travail. C'est la consolidation de la phase de reconstruction pour un retour à la vie active ( phase de guérison). Le patient durant cette phase vient fournir un travail de "rééquilibrage" émotionnel , personnel et professionnel.